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Un policier confondu avec L'agresseur de Théo traqué sur les reseaux sociaux

Depuis le jour du drame, la toile se déchaîne pour retrouver l'identité du policier à la matraque...

Depuis le jour du drame à Aulnay-sous-Bois, la toile se déchaîne pour retrouver l'identité du policier à la matraque, logique après chaque agression en général la plupart des medias se bousculent pour révéler l'identité de l'agresseur.  Dans l'affaire de Théo c'est visiblement plus sensible puisque son status de policier lui donne un certain "anonymat"...

Retrouvé sur facebook 

Marc-Antoine Coppin a été traqué par les internautes sur facebook ,menacé il décide de porter plainte et la police a démenti son implication.

Reconstitution :    d'après Leparisien.fr

L’échauffourée qui éclate alors à l’angle du mur se transforme en mêlée confuse, d’où jaillit le manteau noir de Théo. Le vêtement gît maintenant sur le parvis. Un policier tient les amis de Théo à distance alors que ses trois collègues tentent de maîtriser le jeune homme. Lui se débat en tous sens, ce qui a pour effet de faire glisser son pantalon de survêtement sur le haut des cuisses. Il chute lourdement face contre terre, entraînant sous lui un agent. Effluves de gaz lacrymogènes. Le jeune homme se relève pendant qu’un agent tente de le plaquer contre le muret et de maintenir son bras droit dans le dos, pour le menotter. Quant à son collègue Marc-Antoine, placé derrière lui, il assène à plat trois ou quatre coups de matraque télescopique, près de 50 cm de métal dotés d’un embout. Puis il porte une estocade, une seule, par l’arrière…

 

« Je décidais de porter à l’individu des coups de matraque télescopique en visant ses membres inférieurs dans l’espoir de lui faire perdre l’équilibre et de l’amener au sol», justifie Marc-Antoine. « Moi j’étais de dos de ¾. Je l’ai vu prendre sa matraque et il me l’a enfoncée dans les fesses volontairement », assure au contraire Théo. L’arme a pénétré sur une dizaine de centimètres dans les chairs, après avoir transpercé le caleçon blanc à rayures. Geste volontaire ou accidentel ? Le débat qui ne pourra être tranché qu’après analyse image par image de la séquence, filmée par le système de vidéosurveillance de la ville, mais pas encore visionnée par la juge d’instruction au moment de la mise en examen du week-end dernier.

A.P.


LaFinePress